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Pour bien valoriser le vin à table, il s'agit d'utiliser le bon instrument, le verre, quasi aussi important que le vin qu'on y verse. Il se subdivise en plusieurs parties : le calice ou coupe, partie qui reçoit le liquide. Son bord supérieur, le buvant, doit être fin pour favoriser un bon contact avec les lèvres de la bouche. Le bouton est la sorte de soudure reliant le calice à la jambe. La jambe, plus ou moins longue, est la partie que l'on saisit pour boire. Enfin, le pied qui assure la stabilité de l'ensemble.
Les verres constituent, avec les carafes, seuls éléments verticaux, une partie élégante et harmonieuse du couvert. Il convient d'éviter des voisinages hétéroclites en choisissant son assortiment de verres sous forme des principaux modèles d'une série. Les verres seront placés en diagonale sur la droite du couvert, dans l'ordre de leur utilisation, en fonction des vins servis, sans oublier le verre à eau, placé en dernier. La personne chargée du service des boissons veillera à ne pas trop remplir les verres, la règle étant au tiers de la contenance du calice, même un peu moins s'il s'agit de très gros verres à bourgogne, par exemple. Mieux vaut peu, mais souvent, pour boire à bonne température. Enfin, ne jamais oublier qu'un verre sur pied ne se saisit à table que par la jambe - ni par le pied, réservé à la dégustation pure - et jamais par le calice.
Les verres spécifiques à la dégustation comme les "Impitoyables - Taster et autres INAO" ne sont pas des candidats pour la table, tant ils sont conçus pour débusquer des défauts. On écartera également les coupes à champagne, pour les remplacer par des flûtes. Les coupes d'autrefois peuvent au besoin servir pour présenter certains desserts liquides à base de crème et autres macédoines.
Des recherches récentes ont permis de mettre au point la fabrication deverre de très belle qualité, beaucoup plus résistant dont lesrenseignements figurent aux liens suivants de l'Internet :